Quand l'âme s'incarne
- Riad Zein
- 28 août
- 2 min de lecture

Tes émotions façonnent ta réalité. Elles naissent de l'élan sacré de ton cœur et s'élèvent en pensées d'amour grâce à ton mental supérieur. Mais l'égo interrompt souvent cet élan, le filtrant à travers ses croyances. C'est alors que ta réalité perd sa nature divine pour ne devenir que le reflet de tes conflits intérieurs.
Lorsque ta vibration s'abaisse, tes mouvements s'alourdissent et perdent leur harmonie. La vie te semble pesante, car les émotions mêlées d'idées contraires créent une tension intérieure. Nulle croyance n'est véritablement neutre, pas même celles que l'on voudrait rattacher à l'amour. L'amour n'est pas une croyance, mais une connaissance vivante : lorsque tu aimes, tu n'as plus besoin de croire. Tu ressens et perçois la vie avec spontanéité.
L'émotion accordée à l'amour vibre haut, au-delà de toute dualité, et t'élève au-dessus des notions de bien et de mal. Ton corps s'allège, franchissant la pesanteur des épreuves, de la maladie et même de la mort. Tu traverses ainsi le voile de l'illusion pour toucher la vérité de l'instant.
En cessant de nourrir les croyances de l'égo, enracinées dans le mental inférieur, celles-ci se dissipent. Elles laissent place à la pensée supérieure qui s'installe et réharmonise les énergies de ton corps. Tu goûteras alors à la paix profonde de l'amour inconditionnel, et tes actions se laisseront guider par l'inspiration sacrée. C'est à ce moment que tu pourras pleinement incarner la mission de vie que ton âme a choisie avant de venir dans cette dimension.
Si tu choisis de revenir au plan sacré et de vivre selon la Volonté Divine sur Terre, commence par écouter. Observe chaque perception sans l'altérer par tes pensées personnelles. Au début, cela peut sembler difficile, mais si tu persistes, tu progresseras pas à pas, jusqu'à confier ton destin à ton Être supérieur, directement relié à la Source. Tu n'auras plus besoin de chercher ce qui te convient ou convient aux autres ; tu agiras avec certitude, dans la légèreté de l'allégresse.
Commentaires