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Ta joie de vivre

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L’Autre peut être ton ami ou ton ennemi, ton sauveur ou ton agresseur. Tout dépend de l’image que tu as de lui. Si sa présence te met mal à l’aise, tu chercheras à le fuir ou tu seras faux avec lui — ce qui revient au même.


L’Autre est celui qui n’est pas toi : un étranger que tu crois vouloir t’envahir, te posséder ou t’anéantir. Une séparation s’installe entre toi et lui, née de la confusion selon laquelle il pourrait exister quelqu’un d’autre que toi. Mais c’est toi qui l’as créé, et tu t’es barricadé pour te protéger de lui.


Cette séparation entre toi et toi engendre la peur et l’incompréhension. Tu as jugé et condamné une part de toi, puis tu l’as projetée dans le monde de l’illusion. Depuis, tu luttes contre ton ombre. Le stress ne naît que de ce jugement.


Tant que tu n’intègres pas l’Autre, tu seras toujours en guerre contre toi-même, inventant chaque jour des stratégies de défense. Tu ne connaîtras pas la paix, car tu ne pourras pas te détendre tant que tu te sentiras menacé.


Rien ne peut être menaçant si tu ne le sépares pas de toi. Tous les aspects de la Création sont parties intégrantes de ton être. Dans l’unité, il n’y a pas d’ennemi, car il n’y a pas de faille. L’intégration se trouve dans le sentiment, jamais dans le raisonnement.


Comprends que lorsque tu es stressé ou angoissé, tu refuses d’accueillir une partie de toi. Tu résistes à ton environnement, à la présence d’un autre aspect de la vie. Tu ne te reconnais pas à travers les autres.


Ton jugement déforme des aspects de toi et les rejette hors de ton espace intime. Cela engendre, entre autres, un manque d’échange profond et un sentiment de solitude, qui te pousse à t’attacher de manière maladive à des personnes, des objets ou des situations.


Quand tu souffres, c’est toujours à cause d’une partie rejetée de toi. Tu résistes étrangement à ta propre joie de vivre, et tu accuses en plus les autres de cette situation.


Au lieu de te défendre contre la souffrance, trouve la joie dans ton cœur. C’est un sentiment d’amour permanent que tu percevras si tu cesses de donner un sens à ta souffrance. Cela te rendra neutre et apaisera tes mouvements intérieurs.


Ta joie de vivre est un phare qui te guide vers l’éternité : un sentiment lumineux, caché derrière tes émotions et tes jugements. Ose les traverser, et tu découvriras ton guide intérieur.




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Martine 06
Martine 06
27 sept.
Noté 5 étoiles sur 5.

Enfin je vais retrouver ma joie de vivre

Merci Merci Merci

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