La lourdeur, la souffrance et les maladies que tu subis se logent dans le mental. Elles persistent parce que tu es d’accord avec elles. Elles font partie de ton système de pensée. Si tu prends du recul et que tu les observes d’une façon neutre, sans être pour ou contre, tu neutraliseras ton énergie, alors elles ne seront plus alimentées par toi et disparaîtront.
Aucune force ne peut agir contre toi si tu ne lui donnes pas ton accord. La scission de la personnalité commence au moment où tu refoules tes idées à la suite du sentiment de culpabilité et du jugement.
Il y a un mécanisme de refoulement en toi qui est réprimé ; tu refoules les idées et tu les renies aussitôt. Tu ne peux pas supporter les idées qui te font sentir coupable. Ces idées sont chargées des jugements émis par toi, d’où le paradoxe.
Tu juges sévèrement un trait de caractère chez toi puis tu le renies, alors il agit à l’encontre de ta volonté consciente et tu subis ses conséquences, qui se manifestent dans ton quotidien sous des formes multiples, tout en croyant que la cause est indépendante de ta volonté initiale.
Les maladies sont tenaces à cause de ce paradoxe. Quand tu refoules une idée, tu n’es plus conscient d’elle pour pouvoir la corriger, alors elle te domine. Tu es ton propre geôlier et ton propre bourreau. Personne ne peut te sauver à part toi-même.
N’attends ni le Messie ni les extraterrestres pour te sauver, sinon tu vas rester dans l’illusion et subir tes propres malheurs. Le monstre dont tu as peur est de ta propre création et tu peux le décréer à tout moment, il suffit d’être de bonne volonté, humble et attentif à tes ressentis.
Comprends bien que la maladie est mentale, comme la souffrance ; dès que tu es connecté au cœur, elle disparaît. Ce sont des idées de non-amour que tu as adoptées et que tu as refusé de reconsidérer.
Contrairement à ce que tu crois, c’est le Messie qui t’attend, il attend que tu reviennes à la raison et que tu changes d’avis afin qu’il puisse t’aider.
Dans la vie réelle, il n’y a ni maladie, ni souffrance, ni malheur ; ce sont des constructions mentales basées sur le principe de la séparation, qui est une idée de non-amour, qui ne peut exister réellement, puisque l’amour est la vie-même.
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