Éliminer la peur
- Riad Zein
- 23 août
- 2 min de lecture

Le processus du pardon est une méthode qui élimine les pensées de non-amour. Tu ne peux éliminer que ce qui n’existe pas réellement : tout ce qui est illusion ou mensonge.
La vérité est ineffaçable ; elle est une expression de l’Amour. Lorsque tu as peur de ce qui se passe dans le monde, de la souffrance ou de la maladie, comprends que la cause est toujours à l’intérieur de toi.
Il n’y a rien à l’extérieur, ni bon ni mauvais. Quand tu refuses d’admettre cette vérité, tu lègues ton pouvoir aux forces de l’ombre, qui n’existent que dans ton imagination. Plus tu as peur, plus cette force te domine.
N’essaie pas de fuir ou de minimiser cette peur, sinon tu resteras enfermé dans le malheur. Tu dois la reconnaître, l’admettre et l’effacer. C’est par ce procédé que tu peux vaincre le monde des ténèbres.
C’est une question de courage. Tu minimises l’ampleur de tes émotions parce que tu ne te sens pas capable de les affronter ; tu attends que quelqu’un d’autre résolve ce problème à ta place. Mais il n’y a personne d’autre dans ton rêve : tu es seul.
Commence à effacer systématiquement tes émotions dérangeantes, celles qui naissent de la peur. Tu découvriras bientôt que l’unique mémoire à effacer est la peur, qui prend une infinité de formes, mais reste toujours la mémoire de non-amour : la seule et unique mémoire à effacer.
Lorsque tu réaliseras que seule la peur te pose problème, ton mental se calmera et ton attention se focalisera davantage sur cette émotion. Alors, le processus du pardon deviendra beaucoup plus simple et direct, et le changement dans ta vie s’accélérera.
Ta tristesse, ta fatigue, ta colère, ton désespoir… tous sont des formes de peur façonnées par l’interprétation du mental. Ce sont les conséquences d’une imagination de non-amour à laquelle tu as voulu croire.
Le miracle est ici et maintenant, le lieu de la réalité et de la libération. Il n’y a ni ombre, ni désespoir. Il n’y a que la peur qui t’en sépare, et il n’y a que l’Amour qui puisse te ramener.



Commentaires